Bijoux Altesse : une usine sortie de la crise
Avec un siècle d'existence et de savoir-faire, c'est un fabricant de bijoux qui revit après avoir failli mettre la clef sous la porte.
"Maintenant, on revit. Et pour notre Vendée, qui a toujours été la vallée du bijou, c'est un plus", raconte Béatrice Chambon, employée "Les Georgettes", le sourire aux lèvres. Le fabricant Altesse revient de loin. Après avoir été mise en redressement judiciaire en 2013, l'entreprise subit une première vague de licenciements de 200 salariés.
Création de "Les Georgettes"
"À l'époque, c'était dramatique cette situation parce que pour payer les salaires ils avaient été obligés de fondre les métaux précieux tels que l'argent et l'or", se souvient Jacques Vernet, un employé. Ce sous-traitant, qui n'arrivait pas à lutter contre la concurrence asiatique, s'est écroulé avant d'être racheté par une entreprise française. Le repreneur rationalise alors les sites de production, forme les employés et crée une marque : "Les Georgettes", des bijoux personnalisables.
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