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Vidéo Marion Moriceau, plongeuse-scaphandrière, fait découvrir son quotidien sous l’eau

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Depuis petite, elle rêvait de devenir scaphandrière. Aujourd’hui, elle l’est. Marion plonge avec Brut sous l’eau, pour faire découvrir son métier, où elle réalise de nombreux travaux. De couler du béton à faire de la soudure… Voici son quotidien.
VIDEO. Marion Moriceau, plongeuse-scaphandrière, fait découvrir son quotidien sous l’eau Depuis petite, elle rêvait de devenir scaphandrière. Aujourd’hui, elle l’est. Marion plonge avec Brut sous l’eau, pour faire découvrir son métier, où elle réalise de nombreux travaux. De couler du béton à faire de la soudure… Voici son quotidien. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Depuis petite, elle rêvait de devenir scaphandrière. Aujourd’hui, elle l’est. Marion plonge avec Brut sous l’eau, pour faire découvrir son métier, où elle réalise de nombreux travaux. De couler du béton à faire de la soudure… Voici son quotidien.

Aujourd’hui, on va poser un filet qui va venir réceptionner tous les déchets à la sortie d’une canalisation.” Marion Moriceau est plongeuse-scaphandrière. Son quotidien, elle le résume simplement : “je fais des travaux sous la mer”. “Les chantiers sur lesquels on intervient et mon quotidien ça va être surtout des travaux maritimes, portuaires. On va faire des poses de coffrages. On va tirer des radiers, couler du béton. On va faire de la soudure, de la découpe sous-marine. On a beaucoup beaucoup d’outils pneumatiques, hydroliques, pour pouvoir faire un petit peu tout le travail d’un ouvrier sur terre sous la mer.” Cette fois-ci, elle est sur le port d’Antibes, pour remplacer un filet recevant les pollutions. 

“C’est ce métier que je veux faire”

C’est un métier qui inspire beaucoup d’histoires anciennes. On a des films comme ‘Le Grand Bleu’, ou alors des histoires de Jules Verne avec le Nautilus et ses plongeurs. Là, nous, on est bien dans la réalité du terrain. On est bien en 2022. Et on effectue toujours nos travaux sous-marins au casque”, explique Marion. 

Ce métier, elle a toujours voulu que ce soit le sien. “C’était vraiment un métier qui m’a fait rêver quand j’étais petite. Du premier jour où j’ai découvert le métier de plongeur-scaphandrier, je me suis dit : ‘C’est ce métier que je veux faire, je suis faite pour ça, donc je vais me donner les moyens d’aller au bout de ce rêve’. Et c’est vrai que ça fait bientôt dix ans que j’exerce ce métier et je suis toujours autant passionnée et épanouie, et j’en apprends chaque jour”, raconte la scaphandrière. 

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