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Vidéo Pour Le Foll, "le problème de la France c'est qu'on n'est jamais content"

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Le porte-parole du gouvernement a défendu sur France Info face aux critiques le "choix stratégique" fait par François Hollande dans son plan "d'urgence" contre le chômage.
Pour Le Foll, "le problème de la France c'est qu'on n'est jamais content" Le porte-parole du gouvernement a défendu sur France Info face aux critiques le "choix stratégique" fait par François Hollande dans son plan "d'urgence" contre le chômage. (FRANCE INFO)
Article rédigé par franceinfo
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Le porte-parole du gouvernement a défendu, mardi sur France Info, le plan "d'urgence" de François Hollande contre le chômage.

"Vous avez entendu, depuis longtemps, des gens qui pouvaient être contents ? Le problème de la France, c'est qu'on n'est jamais content." Face aux critiques à droite, mais aussi à la gauche de la gauche, Stéphane Le Foll, a défendu, mardi 19 janvier sur France Info, les mesures présentées, la veille, par François Hollande dans son plan "d'urgence" contre le chômage.

Un "choix stratégique", mais pas de "virage libéral"

"Il n'y a pas de quoi être ravi, a reconnu le porte-parole du gouvernement. Mais il n'y a pas de quoi, non plus, constamment, ne jamais être content." "On peut critiquer François Hollande sur ce choix stratégique", a toutefois concédé le ministre de l'Agriculture. Dialogue social plus compromis entre l'intérêt des entreprises et l'intérêt des salariés, c'est tout à fait critiquable et c'est critiqué depuis le début."

Stéphane Le Foll a néanmoins réfuté tout "virage libéral". "C'est un virage du compromis entre des intérêts qui sont divergents", a-t-il plaidé. Et le ministre de souligner qu'"on a un modèle social qui doit être adapté à des contextes dont on est bien obligé de tenir compte".

Le porte-parole a lancé une pique à ceux qui critiquent le gouvernement sur sa gauche : "Ils ne sont pas contents, ils n'ont jamais été contents. Ne dites pas que ce sont nos partenaires. Je regarde ce qui est dit. J'ai vu les tweets. Des partenaires ? Ben dites donc, quand on a des partenaires comme ça, il faut savoir où sont ses adversaires."

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