Colère des agriculteurs : "C’est une suspension du mouvement", affirme Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Après les annonces de Gabriel Attal, jeudi 1er février, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont appelé à la fin des blocages des autoroutes. Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA, attend de voir "si les annonces qui ont été faites se révèlent efficaces".
Colère des agriculteurs : "C’est une suspension du mouvement", affirme Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA Après les annonces de Gabriel Attal, jeudi 1er février, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont appelé à la fin des blocages des autoroutes. Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA, attend de voir "si les annonces qui ont été faites se révèlent efficaces". (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S. Chironi
France Télévisions
Après les annonces de Gabriel Attal, jeudi 1er février, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont appelé à la fin des blocages des autoroutes. Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA, attend de voir "si les annonces qui ont été faites se révèlent efficaces".

"C’est une suspension du mouvement", affirme Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSEA. Ce syndicat a annoncé, à la suite des annonces de Gabriel Attal, jeudi 1er février, la levée des barrages sur les autoroutes françaises. "Maintenant, on va travailler avec les préfets dans les départements et on verra bien au bout de dix jours si les annonces qui ont été faites se révèlent efficaces", poursuit-il.

"Nos messages sont en train de passer"

"On a des agriculteurs et des agricultrices qui sont mobilisés depuis pratiquement deux mois et demi, nos messages sont en train de passer", explique Hervé Lapie. Il estime que le Premier ministre prend enfin conscience de la gravité de la situation dans laquelle se trouvent les agriculteurs en ce moment. "On a aussi tout le volet européen qui nous pose énormément problème", conclut-il, en précisant qu’un nouveau levier d’action concernera certainement l’Europe. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.