F1 : Renault dévoile sa nouvelle monoplace, la R.S.18
La livrée de la R.S. 18 est toujours jaune et noire, mais le constructeur français annonce de nombreuses modifications sur sa prochaine monoplace.
Voici la nouvelle monoplace de Renault. Le groupe a dévoilé sa R.S.18 sur les réseaux sociaux, mardi 20 février. Un véhicule qui doit lui permettre de "poursuivre sa progression" lors de la prochaine saison de F1, qui débute le 23 mars à Melbourne (Australie). Pour son retour sur le circuit, la marque avait terminé 9e du championnat en 2016, puis sixième l'année suivante. "Véritable évolution et sophistication des solutions développées en 2017, la R.S.18 dispose d'un concept de suspension retravaillé et de plus d'appui aérodynamique", explique l'équipe dans un communiqué.
Ladies & gentlemen... Meet our 2018 challenger, the @RenaultSportF1 R.S.18! #LaRS18IsComing #RS18 #RSspirit pic.twitter.com/ELdwrD6wNe
— Renault Sport F1 (@RenaultSportF1) 20 février 2018
"Nous devons continuer de grandir"
Un important travail a été réalisé sur le groupe propulseur "pour maximiser les performances et améliorer la fiabilité", qui a manqué en fin de saison dernière. D'autant que la règlementation n'autorisera plus en 2018 que trois moteurs, deux systèmes de récupération d'énergie MGU-K et deux batteries. "Nous voulons pouvoir démontrer nos progrès à tous les niveaux : groupe propulseur, châssis, structure opérationnelle, pilotes, annonce le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul. Tout doit s'améliorer et nous devons continuer de grandir".
Comme toutes ses concurrentes, la R.S.18 est équipée du Halo, la nouvelle protection de cockpit rendue obligatoire. Elle sera de nouveau pilotée par l'Allemand Nico Hülkenberg et l'Espagnol Carlos Sainz Jr, transféré depuis Toro Rosso en fin de saison dernière. Le Britannico-Coréen Jack Aitken, 22 ans, membre de la filière de jeunes pilotes Renault, est promu troisième pilote et pilote de réserve, en remplacement du Russe Sergey Sirotkin, titularisé chez Williams. Le Russe Artem Markelov, 23 ans, devient lui pilote d'essai et de développement.
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