Déraillement de Brétigny-sur-Orge : défaut d'entretien et de surveillance des lignes ?

Les premières conclusion du Bureau enquêtes et accidents six mois après le déraillement de Brétigny-sur-Orge. Le défaut d'entretien et de surveillance des lignes est pointé du doigt. Nous entendrons des témoignages de rescapés toujours choqués.

Le journal Closer fait état d'une relation entre François Hollande et la comédienne Julie Gayet. Le chef de l'Etat a déploré une atteinte à la vie privée et envisage des poursuites judiciaires. Nathalie Saint-Cricq nous le confirmera sur ce plateau.

La colère des salariés de La Redoute. Après l'annonce de plus de 1000 suppressions d'emplois, ils envisagent des manifestations et des actions coup de poing.

Dans un petit hameau du Limousin, une trentaine d'habitants menacent de ne plus payer leurs impôts. Ils sont privés d'Internet à haut débit comme 20 % de la population.

Dans les Cinq Dernières Minutes, nous recevrons Alex Lutz. Il fait un carton avec son one man show enrichi de nombreux sketches.

Premier rapport officiel La surveillance des lignes et le boulonnage des voies mis en cause. Des anomalies n'auraient pas été signalées lors de la tournée d'inspection une semaine avant le drame.

La catastrophe de Brétigny disséquée pour la première fois dans un rapport de 118 pages remis par le Bureau d'enquêtes sur les accidents. Ce rapport confirme le scénario du retournement d'une éclisse au passage du train qui a fait dérailler le convoi. Autre confirmation, un boulon manquait sur la pièce avant le déraillement. Derrière cette pièce métallique, on apprend que le rail était fissuré avant l'accident. Sur cette photo, on voit en rouge les fissures et à côté, le rail cassé.

Lors des tournées de surveillance, faites à pied tous les 15 jours, sans instrument pour ausculter, cette fissuration n'était pas détectable.

La maintenance n'est pas pointée du doigt. Le rapport met en cause la fiabilité et la qualité des tournées de surveillance. L'absence d'un boulon n'y est pas forcément signalée, une faille probable dans les procédures de contrôle.