Après un rapide coup d’œil des techniques et du matériel, des jeunes du Cantal sont initiés au "street art", à Mauriac. Ils ne manquent pas d'inspiration. Ce qui leur plaît ? "L'expression que l'on peut mettre là-dedans, nos ressentis, notre émotion. J'aime bien", répond un jeune de 13 ans. Ce groupe de huit enfants va donner des couleurs à une cabane, bombe à la main."Permettre au street art de trouver sa place en milieu rural"Le seul mot d'ordre pour Vincent Pietri pendant ces deux jours : transmettre sa passion. "Permettre au street art de trouver sa place en milieu rural parce que, à la base, on parle quand même de pratique urbaine. Pour notamment déclencher des découvertes et pourquoi pas des envies auprès de ces publics jeunes qui prendront peut-être la voie des études ou du loisir dans le street art", comment l'intéressé.