Danse : "On est drivés par le plaisir, l’envie de collaborer sur des projets à chaque fois un peu plus fous", explique Arthur Harel, membre de (La) Horde

La marque Burberry, le réalisateur Gilles Lellouche, l’icône Madonna… ils s’arrachent tous les services de (La) Horde, collectif de chorégraphes à la tête du ballet national de Marseille. "Tous les trois, on est drivés par le plaisir, l’envie de collaborer sur des projets à chaque fois un peu plus fous", explique Arthur Harel, l’un des trois membres de (La) Horde. Leur show réalisé pour la tournée de Madonna a demandé quatre mois de travail avec la chanteuse et ses danseurs. Un travail qui leur a valu d’apparaître dans le "New York Times". 

"Virtuose et fragile"

Dans la presse française, les critiques sont elles aussi dithyrambiques. Arte écrit que le collectif "révolutionne la danse", France Inter qualifie leur œuvre de "virtuose et fragile, explorant les frontières entre les mondes". Le week-end des 20 et 21 janvier, le collectif de chorégraphes produit leur spectacle "Age of Content" à Créteil (Val-de-Marne) qui affiche complet.