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FlyView : survolez Paris grâce à la réalité virtuelle

Survoler les plus beaux monuments de Paris à bord d'un jetpack, l'expérience est désormais offerte à tous ! A partir du 31 mars, FlyView accueille le grand public à quelques pas de l'Opéra de Paris. Grâce à la réalité virtuelle, c'est comme si vous voliez littéralement au-dessus des toits de Paris et de ses plus beaux sites. Découvrez cette nouvelle attraction en avant-première.
Article rédigé par Marie Pujolas
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Survol de Paris grâce à la réalité virtuelle
 (Flyview)

Grâce au casque de réalité virtuelle, le visiteur de FlyView a réellement l'impression de monter à bord d'un jetpack, sorte de propulseur dorsal, qui permet de se prendre un peu pour un oiseau. Et c'est parti pour 15 minutes dans les airs ou au ras du sol, à survoler les gargouilles de Notre Dame, se reposer quelques instants au sommet l'Arc de Triomphe avant de se diriger tout droit vers la Tour Eiffel. Et toutes les images sont réelles, les prises de vue ont été réalisées par des drones. 

Reportage : France 3 Paris Île-de-France : F. Castaingts / O. Badin / A. Sfez

Le magie de la réalité virtuelle est d'avoir cette sensation d'immersion totale. Ici, une fois le casque mis, on est entièrement plongé dans cette visite unique. Installé sur une plateforme qui bouge en fonction des mouvements du "passager", la sensation est encore plus réelle. Aller à droite, à gauche, en haut, en bas, accélérer, freiner, tout est possible. On peut découvrir au plus près une vingtaine de monuments parmi les plus emblématiques de la capitale. 

Un rêve d'enfant

Il aura fallu trois ans de travail à l'entreprise à l'origine du concept avant que le projet ne devienne une réalité. Dans les locaux, situés en plein centre de Paris, à côté de l'Opéra, 50 simulateurs ont été installés. Pour le fondateur de FlyView, c'est un peu la concrétisation d'un rêve. "J'avais envie d'un survol de Notre Dame. Mais de proximité, pas à altitude d'hélicoptère. Et là, on va de gargouille en gargouille, on peut presque les toucher" explique Arnaud Houette. 

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