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Première du Download Festival ce week-end à Paris avec Iron Maiden
Le Download Festival, qui réunit depuis 2003 en Grande-Bretagne les amateurs de rock tendance metal, se dédouble cette année avec une première édition française organisée de vendredi à dimanche à Paris.
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Reportage: JL.Serra, M.Caillaud, S.Fouquet
Une semaine avant le Hellfest nantais, festival devenu en dix ans l'immanquable rendez-vous des "métalleux" français, le producteur international Live Nation s'installe à son tour sur le créneau hard-rock avec une affiche costaud pour le Download Festival Paris à l'hippodrome de Longchamp : les légendaires Iron Maiden, Deftones, Ghost et Anthrax vendredi, Korn samedi puis Megadeth, Volbeat et les spectaculaires Rammstein dimanche en clôture.
La plupart des groupes sont en parallèle à l'affiche de la version anglaise du festival, organisée également ce week-end sur le circuit de Donington, au nord-est de Birmingham dans le centre du pays. Rammstein sera par exemple vendredi soir en Angleterre avant son show en France dimanche soir.
Le Download Festival a été lancé il y a douze ans à Donington (avec déjà Iron Maiden en tête d'affiche) sur les cendres d'une précédente manifestation rock, les "Monsters of Rock".
"Le but n'est pas de vouloir prendre la place des autres mais d'être complémentaires et de s'insérer dans le temps", assure à l'AFP Angelo Gopee, directeur général de Live Nation France.
Le Download Festival, installé sur l'hippodrome de Longchamp comme Solidays (24-26 juin prochains), peut accueillir jusqu'à 50.000 personnes par soir.
Pour le groupe californien Deftones, ce retour en France s'annonce particulier : le groupe devait jouer au Bataclan les trois jours suivants le concert des Eagles of Death Metal pris pour cible par les jihadistes. Les membres du groupe étaient déjà à Paris le 13 novembre.
"Etre à Paris ce soir-là, c'était évidemment quelque chose d'intense. Evidemment, il faut toujours se souvenir de ce qui s'est passé mais continuer à aller de l'avant", expliquait Chino Moreno, le chanteur du Deftones, lors d'un récent passage à Paris pour promouvoir le dernier album du groupe, "Gore", paru en avril.
Une semaine avant le Hellfest nantais, festival devenu en dix ans l'immanquable rendez-vous des "métalleux" français, le producteur international Live Nation s'installe à son tour sur le créneau hard-rock avec une affiche costaud pour le Download Festival Paris à l'hippodrome de Longchamp : les légendaires Iron Maiden, Deftones, Ghost et Anthrax vendredi, Korn samedi puis Megadeth, Volbeat et les spectaculaires Rammstein dimanche en clôture.
La plupart des groupes sont en parallèle à l'affiche de la version anglaise du festival, organisée également ce week-end sur le circuit de Donington, au nord-est de Birmingham dans le centre du pays. Rammstein sera par exemple vendredi soir en Angleterre avant son show en France dimanche soir.
Le Download Festival a été lancé il y a douze ans à Donington (avec déjà Iron Maiden en tête d'affiche) sur les cendres d'une précédente manifestation rock, les "Monsters of Rock".
Jusqu'à 50.000 personnes par soir à Longchamp
Pour Live Nation, propriétaire d'autres festivals en France (Main Square Festival, I Love Techno), la place existe pour un nouveau festival "rock-metal" malgré l'offre déjà fournie à Paris (Solidays, Rock en Seine, Pitchfork, Inrocks, We Love Green, Weather Festival...)."Le but n'est pas de vouloir prendre la place des autres mais d'être complémentaires et de s'insérer dans le temps", assure à l'AFP Angelo Gopee, directeur général de Live Nation France.
Le Download Festival, installé sur l'hippodrome de Longchamp comme Solidays (24-26 juin prochains), peut accueillir jusqu'à 50.000 personnes par soir.
Le retour à Paris des Deftones, prévus au Bataclan en novembre dernier
Au milieu d'une affiche très internationale, avec des groupes anglo-saxons, scandinaves ou même japonais, quelques groupes français seront de la partie : Gojira, Last Train, Mass Hysteria, Lofofora ou BlackRain.Pour le groupe californien Deftones, ce retour en France s'annonce particulier : le groupe devait jouer au Bataclan les trois jours suivants le concert des Eagles of Death Metal pris pour cible par les jihadistes. Les membres du groupe étaient déjà à Paris le 13 novembre.
"Etre à Paris ce soir-là, c'était évidemment quelque chose d'intense. Evidemment, il faut toujours se souvenir de ce qui s'est passé mais continuer à aller de l'avant", expliquait Chino Moreno, le chanteur du Deftones, lors d'un récent passage à Paris pour promouvoir le dernier album du groupe, "Gore", paru en avril.
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