On a retrouvé The Rubettes au Mans, 45 ans après "Sugar Baby Love"
Avant un concert à Saint Calais, deux des figures historiques du groupe se sont promenés dans les rues du Mans en évoquant le bon vieux temps.
Il y a 45 ans, ils faisaient danser la planète avec Sugar Baby Love, I can Do It ou encore Juke Box Jive. Des tubes qui n'ont pas pris une ride. Pour preuve, ils enflamment les dance floor aux Usa. The Rubettes aiment la France et sont de passage à Saint-Calais ce samedi 29 juin.
Ils ont troqué leur légendaire costume blanc pour des T-shirts décontractés.Les cheveux sont tombés ou devenus gris. Mick Clarke et John Richardson, deux des figures historiques des Rubettes sont tranquillement attablés dans un café du vieux Mans. 45 ans après leur heure de gloire Mick Clarke reste incrédule devant leur longévité. "C'est fantastique, les années passent et c'est comme si c'était hier. Nous sommes toujours là à jouer et à bien se marrer et à se dire : est-ce que c'est possible?".
C'est le genre de tube sur lesquels les plus de 60 ans se sont déhanchés dans les soirées de la deuxième moitié des années 70. De ces airs qui vous trottent dans la tête d'un samedi à l'autre, d'une boum à l'autre. Avec leur costumes et casquettes blancs, The Rubettes avaient un look aisément reconnaissable.
L'autre marque de fabrique, était la voix haut perchée (en fausset) de Paul Prewer puis d'Alan Williams.
Nés dans le Londres gris de l'après-guerre, les Rubettes ont entendu débarquer sur les ondes le Hound Dog d'Elvis et plus rien n'a été pareil.
En 1974, The Rubettes réussiront un beau mix entre le doo-wop et cette musique américaine des années 50 pour faire danser des rocks qui étaient un vrai défi de rythme sur la longueur.
Dans les rues du vieux Mans, Mick Clarke a pris sa guitare et avec John Richardson ils ont entonné, façon Simon and Garfunkel, l'inoubliable "Bye, bye love" des Everly Brothers.
Oldies but goldies.
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