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Electronique ou acoustique, Emilie Simon se réinvente le temps d'un concert
Le CNSMD, Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Lyon a ouvert ses portes à la pop, une première. Et c'est la chanteuse Emilie Simon qui a accepté l'invitation, le temps pour les élèves de réinventer l'intégralité de son répertoire. Un croisement des expériences et une rencontre de deux mondes, l'électronique et l'acoustique, le temps d'un concert exceptionnel et unique.
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Reportage : J. Sauvadon / J-C. Adde / C. Thomas
Quant aux trente élèves du CNSMD qui ont participé à cette aventure, ce projet hors normes les a réunis pour la première fois car issus de différentes formations (musique ancienne, classique et contemporaine). Le but de l'initiateur du projet était avant tout de créer du lien, une rencontre et un partage.
Ce projet inattendu est le fruit d'une collaboration de longue date entre Emilie Simon et le percussionniste Henri-Charles Caget. Également coanimateur du collectif d’improvisation et enseignant de percussions au CNSMD, il a soumis l'idée de faire travailler les élèves du conservatoire autour d'un répertoire plus actuel.
Dans le cadre d'une session "Passages", le défi à relever pour les étudiants était de revisiter, de réinventer des mélodies existantes par le biais d'un travail acoustique, accompagné d'arrangements poétiques. Et c'est naturellement l'univers électro pop de la jeune chanteuse ainsi que sa voix cristalline qui s'est imposé, faisant sauter les barrières musicales.
Mais la jeune auteure, compositeur et interprète n'as pas eu beaucoup de mal à s'adapter aux nouveaux arrangements. Elle explique que le travail de textures sonores électroniques qu'elle joue habituellement n'est pas si éloigné de l'acoustique. A travers cette expérience elle affirme retrouver la même empreinte et la même poétique avec des instruments différents.
Mais la jeune auteure, compositeur et interprète n'as pas eu beaucoup de mal à s'adapter aux nouveaux arrangements. Elle explique que le travail de textures sonores électroniques qu'elle joue habituellement n'est pas si éloigné de l'acoustique. A travers cette expérience elle affirme retrouver la même empreinte et la même poétique avec des instruments différents.
Quant aux trente élèves du CNSMD qui ont participé à cette aventure, ce projet hors normes les a réunis pour la première fois car issus de différentes formations (musique ancienne, classique et contemporaine). Le but de l'initiateur du projet était avant tout de créer du lien, une rencontre et un partage.
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