La justice a décidé de geler, mardi 18 décembre, la part qui pourrait revenir à Laura et David sur les droits de vente des albums de leur père, soit 37,5% d'un montant estimé à 800 000 euros chaque année. Cette décision semble bien perçue par un certain public, dont le cœur penche nostalgiquement en faveur des enfants des premiers mariages de Johnny Hallyday.1 million d'albums posthumes vendusDavid Hallyday et Laura Smet réclamaient que les majors Warner, Universal et Sony, les trois maisons de disque qui ont accompagné l'idole des jeunes le long de sa carrière, mettent sous séquestre les trois quarts des revenus tirés des ventes d'albums du rockeur. Son album posthume, Mon pays c'est l'amour, sorti le 19 octobre, s'est notamment écoulé à plus d'un million d'exemplaires en quelques semaines.