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Monty Alexander et Lucky Peterson en ouverture d'Archéo Jazz
Depuis presque 40 ans, à la fin du mois de juin, les ruines du château de Blainville-Crevon s’animent. C’est ici que depuis 1977, Archéo Jazz plante sa tente. Au fil des ans, les plus grands noms du jazz se sont succédé pour ce rendez-vous culturel désormais incontournable. Au programme cette année : Monty Alexander, Lucky Peterson ou encore Charles Bradley.
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Temps de lecture : 2min
Reportage : F.Pesquet / L.Lagneau / P.Taddéï / C.Charbonnier
Il est l’un des tout premiers festivals de l’été. Chaque année depuis presque quatre décennies, Archéo Jazz redonne vie au château médiéval de Blainville-Crevon en Seine-Maritime. Pendant quatre soirées, les ruines du monument retrouvé grâce aux fouilles de centaines de bénévoles résonnent au son des plus grands noms du Jazz. Cette année cependant, la fête sera un peu écourtée : Maurane qui devait se produire le 25 juin se remet doucement d’une opération des cordes vocales. Concert annulé. En revanche, six autres têtes d’affiches ont répondu présent. A commencer par Monty Alexander.
Une légende du jazz qui ne veut pas endosser ce titre : "Je ne sais ce que c'est qu'une légende, tu es une légende si tu es toujours en vie, si tu as survécu à toutes les épreuves". A 72 ans, le pianiste jamaïcain a en tous cas joué avec les plus grands, Dizzie Gillepsie et Franck Sinatra entre autres. Refusant d’être enfermé dans un style de musique, l’artiste préfère parler d’une approche, d’une façon de jouer qui lui valent aujourd’hui de figurer au panthéon des stars du Jazz. Un panthéon au sein duquel il côtoie Lucky Peterson lui aussi à l’affiche d’Archéo Jazz, tout comme Mountain Men, Charles Bradley, Iguaçu et Kassav.
Pour prolonger la fête, chaque soir avant les concerts des groupes de la région se produisent gratuitement sous le chapiteau d'Archéo Jazz. Une exposition sur les bénévoles signée Pascal Varrel est également organisée pendant la durée du festival.
Il est l’un des tout premiers festivals de l’été. Chaque année depuis presque quatre décennies, Archéo Jazz redonne vie au château médiéval de Blainville-Crevon en Seine-Maritime. Pendant quatre soirées, les ruines du monument retrouvé grâce aux fouilles de centaines de bénévoles résonnent au son des plus grands noms du Jazz. Cette année cependant, la fête sera un peu écourtée : Maurane qui devait se produire le 25 juin se remet doucement d’une opération des cordes vocales. Concert annulé. En revanche, six autres têtes d’affiches ont répondu présent. A commencer par Monty Alexander.
Une légende du jazz qui ne veut pas endosser ce titre : "Je ne sais ce que c'est qu'une légende, tu es une légende si tu es toujours en vie, si tu as survécu à toutes les épreuves". A 72 ans, le pianiste jamaïcain a en tous cas joué avec les plus grands, Dizzie Gillepsie et Franck Sinatra entre autres. Refusant d’être enfermé dans un style de musique, l’artiste préfère parler d’une approche, d’une façon de jouer qui lui valent aujourd’hui de figurer au panthéon des stars du Jazz. Un panthéon au sein duquel il côtoie Lucky Peterson lui aussi à l’affiche d’Archéo Jazz, tout comme Mountain Men, Charles Bradley, Iguaçu et Kassav.
Pour prolonger la fête, chaque soir avant les concerts des groupes de la région se produisent gratuitement sous le chapiteau d'Archéo Jazz. Une exposition sur les bénévoles signée Pascal Varrel est également organisée pendant la durée du festival.
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