REPLAY - Blackpink, BTS et autres stars de la Kpop à la conquête du monde : la déferlante K-Culture

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Article rédigé par franceinfo
Radio France
Le Talk de franceinfo se penche sur le vague de la Kpop, k-culture coréenne qui traverse les continents. Boys bands, Blackpink, BTS, autant d’artistes et groupes venus de Corée du Sud qui viennent s’ancrer dans la culture mondiale, la France n’échappe pas au phénomène. Ludo Pauchant reçoit Savannah Truong, créatrice du concept store Kick Café à Paris, Simon Clair, auteur de “Corée, la K-Culture”, Lauréline Neel, productrice et animatrice de podcasts, animatrice de Kick Radio et Youliiane influenceur K-Pop.

Blackpink, EXO, Twice ou encore BTS : ces groupes de K-pop multiplient les albums et les milliers de fans à travers le monde, qui ne cessent d’augmenter. Nombreux sont les clips qui dépassent le milliard de vues sur YouTube, preuve d’une passion dévorante et d’un immense succès de la vague de la k-culture coréenne

Génération K-pop

“Hallyu”, terme signifiant littéralement “vague coréenne”. Qu’il relève de la gastronomie, de la musique, des films ou de la mode, les quatre coins du monde découvrent et se passionnent pour le charme de la culture sud-coréenne. 

La K-pop, signifiant “pop coréenne”, est née dans les années 1990. Ce style musical s’est largement démocratisé à partir de 2012 avec le célèbre titre Gagnam Style de Psy, et de sa chorégraphie qui a conquis les continents. Ce style musical au rythme entraînant, aux chorégraphies énergiques, aux clips et tenues vestimentaires colorées séduit de plus en plus de jeunes (et moins jeunes). 

Symbole de “soft power” coréen ?


À travers le monde, les jeunes écoutent en boucle les clips des boys bands de K-pop, font la promotion des cosmétiques venus de Séoul, apprennent à parler coréen et fantasment sur la culture sud-coréenne. Pour le directeur du centre culturel coréen de Paris, Il-Yeul Lee, la “promotion de notre culture auprès des étrangers a été conçue par le gouvernement”, affirme-t-il, “non seulement le drama, mais aussi la K-pop, que le gouvernement soutenait à l’aide de subventions”.

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