Le jeune musicien autodidacte Malo' écrit et compose seul ses chansons. Après une période intense en rencontres et concerts, Malo' s'est attelé à la composition de son second album, "Be/Etre" dont la sortie est prévue courant 2017 chez Columbia.Douze titres dont la moitié est en anglais, des chansons belles et fragiles, un univers magique et singulier, une voix hors du commun, Malo' a aujourd'hui envie de voler de ses propres ailes. Rencontre avec le jeune musicien Caennais. En toute discrétion il raconte comment il est devenu proche de Jean-Louis Aubert et de Charlie Wiston et l'enchainement des événements. Après le Label Pop-Up de Paris le 30 janvier, Malo' sera sur la scène du Cargo de Caen le 4 février 2017. Jean-Louis Aubert, Charlie Winston : des rencontres incroyablesQue l'on ne s'y méprenne pas. Les différentes rencontres de Malo' ne sont seulement dûes au hasard ou à un très bon réseau.Au départ il y a un véritable talent vocal. Cette voix incroyable qui monte dans les octaves sans encombres a séduit les plus grands.Jean-Louis Aubert est touché en plein coeur par la personnalité de l'artiste et l'invite à assurer la première partie du concert des Insus.Pour son deuxième album "Be/Etre", l'ex-chanteur de Téléphone, lui propose de co-écrire deux titres. "La Colline" et "Les Rêves" Puis Malo' rencontre Charlie Winston avec qui il apprend "l'éclate" comme il dit. Il coécrit la chanson ""A Light" sur l’album "Curio City"et assure en 2015 les premières parties de sa tournée française.Il apprend alors à lâcher prise et prendre plaisir sur scène. Quand on lui demande les artistes qu'il écoute, Malo' répond pêle-mêle : Peter Doherty, Portishead, Radiohead, Phoenix, Lou Reed, Florence & The Machine, Led Zeppelin ou encore Soko. Ses influences sont multiples mais son style unique lui prédit un bel avenir. De Caen à Sydney en passant par Paris L'histoire personnelle de Malory Legardinier, alias MALO’ le mène de l'autre côté du globe. S'il est né à Caen en Normandie, c'est aussi en Australie qu'il découvre certaines de ses racines. A 16 ans il décide de prendre un avion direction Sydney pour rencontrer sa mère qu'il a peu connu.Il reste un an et demi auprès d'elle, s'inscrit à l'école de musique et fait la connaissance de John Stone, père d’Angus & Julia, qu’il accompagne à l’occasion de sa tournée en Tasmanie avec l’orchestre symphonique “Barrenjoey Band”.Une première rencontre qui détermine la suite de ses choix artistiques. Piqué par le virus de la musique et de l'Australie, Malo' compose, arrange et enregistre seul son premier album, le prometteur "The Old Way".Sur son deuxième opus, il a gardé en partie la langue anglaise. Une manière de rester connecté avec son intimité et l'envers du monde : "j'ai composé en anglais pour pouvoir envoyer mes chansons à ma mère", raconte-t-il