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Piano aux Jacobins, presque 40 ans de passion
L’accord parfait entre un lieu exceptionnel et des musiciens de tout premier ordre. C’est la partition sans fausse note de Piano aux Jacobins qui se déroule jusqu’au 29 septembre à Toulouse. Depuis 1979, le festival prolonge l’été grâce à une programmation brillante. Retour en quatre épisodes sur l’histoire d’un festival en dehors du temps.
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Episode 1 : Une machine bien huilée
Depuis sa création en 1979 par deux étudiants toulousains (Catherine d’Argoubet et Paul-Arnaud Péjouan), Piano aux Jacobins a bien grandi. Le festival est aujourd’hui l’un des plus importants – si ce n’est le plus important – festival de piano de France. Des artistes de renommée internationale y côtoient les jeunes talents, le tout orchestré par une équipe de passionnés qui, de l’accordeur (poste ô combien stratégique) aux hôtesses d’accueil assurent le succès de cette manifestation chaque année plus populaire.Reportage : C. Sardain / J. Pigneux / M. Blasco / C. Willocq / E. Auriaux
Episode 2 : Des stars à l’affiche
Michel Petrucciani, Bertrand Chamayou, Sviatoslav Richter, Martha Argerich… ce sont quelques-unes des stars internationales du piano qui se sont produits au fil des ans dans le couvent des Jacobins. Cette année encore, la programmation est exceptionnelle à l’image du concert d’ouverture de cette 38e édition : la soliste russe Elisabeth Leonskaja considérée comme l’une des meilleures interprètes actuelles.
Episode 3 : Un lieu magique
Pendant presqu’un mois, Piano aux Jacobins investit plusieurs lieux de la ville rose, mais - comme son nom l’indique – le site principal du festival reste le magnifique couvent des Jacobins. L’édifice du XIIe siècle offre un écrin unique aux musiciens. Mais attention, l’acoustique exceptionnelle ne pardonne rien : la moindre fausse note y résonne comme un glas. Un véritable défi pour les solistes invités.
Episode 4 : La relève est assurée
On l’a vu, Piano aux Jacobins attire chaque année les plus grands pianistes internationaux. Mais le festival est aussi l’occasion de découvrir de jeunes talents. Cette année, le Sud-Coréen Sunwook Kim et le Hongrois Benedek Horvath, représentent cette nouvelle génération de musiciens surdoués qui, par leur fougue, suscitent l’enthousiasme du public.
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