La Chaise Dieu rend hommage à Georges Onslow, compositeur romantique
Mendelssohn, Berlioz et Beethoven sont ses modèles. Georges Onslow compositeur auvergnat, rarement joué depuis sa mort, a retrouvé sa place dans la mémoire du public de la Chaise-Dieu. Célébré l'an dernier par le quatuor Prima Vista, il revient cette fois dans l'abbatiale, avec entre autres la Symphonie n°4. C'était le choix et la volonté du nouveau directeur du festival, Julien Caron.
Né en 1784, Georges Onslow a connu une célébrité tardive, son talent a été salué par la critique alors qu'il fêtait ses 46 ans. L'éditeur Camille Pleyel l'a surnommé "le Beethoven français ", une expression qui ne l'a pas quitté, une comparaison difficile à tenir, qui explique peut-être le désintérêt dont il a été victime.
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