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Fashion week : découverte en images des backstages du créateur Angus Chiang
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié le 23/06/2017 09:05
Mis à jour le 23/06/2017 16:51
Jeudi 22 juin, le créateur taïwanais Angus Chiang, dont le label a été fondé en 2015, est dans les starting blocks : c'est son 1er défilé sur les podiums de la Paris Fashion Week. Incursion dans ses backstages pour découvrir ses créations colorées et pleines d'humour. Découverte, en images, juste avant le défilé, de l'envers du décor.
Corinne Jeammet
Le défilé Angus Chiang est prévu à 13H30 dans une salle de la Canopée aux Halles. Un heure avant, direction les backstages. Au premier étage, à côté de la salle où se tiendra le show, celle des backstages. Une grande pièce toute en longueur fourmille de monde. Dès l'entrée un grand panneau sur lequel sont affichés les noms des mannequins et des photos des looks et accessoires qu'ils porteront. C'est le running order, un tableau qui permet de vérifier tous les ordres de passage des mannequins et toutes les photos des silhouettes.
(Corinne Jeammet)
Pour que tout soit parfait sur le podium, un alignement de portants sur lesquels sont rangés les vêtements que porteront les mannequins.
(Corinne Jeammet)
Au pied des portants, les accessoires, en l'occurence ici les chaussures au look peu traditionnel avec leurs grosses semelles. Elles sont recouvertes de paillettes et de colifichets.
(Corinne Jeammet)
Sur une table à côté sont posés les bijoux, et sous chacun d'entre eux un numéro qui correspond à la silhouette d'un mannequin, pour compléter son look.
(Corinne Jeammet)
Des petites mains s'affairent, il s'agit souvent d'élèves d'école de mode qui viennent aider aux menus travaux de couture de dernière minute. Ici, elle réalise avec une épingle de minuscules trous dans le plastique. Il s'agit de permettre au mannequin qui enfilera sur sa tête ce sac transparent de pouvoir respirer. Ce sac de grand taille descendra jusqu'au torse. Recouvert d'inscriptions et de solgans publicitaires, il évoque les sacs contenant les noix de bétel en Asie.
(Corinne Jeammet)
Les mannequins, qui jusqu'à présent attendaient dans un coin de la salle, s'habillent désormais. C'est le moment où interviennent les habilleuses qui les aident à ajuster leur look.
(Corinne Jeammet)
Assis à même le sol, le mannequin se laisse faire pendant que deux habilleuses lui enfilent ses chaussures imposantes.
(Corinne Jeammet)
Le créateur Angus Chiang ajuste au millimètre le T-shirt transparent.
(Corinne Jeammet)
Si ce mannequin est déjà pratiquement prêt, l'effervescence bat son plein derrière lui où certains sont encore en train de s'habiller.
(Corinne Jeammet)
Le coiffeur finalise la coiffure
(Corinne Jeammet)
Prêt pour défiler sur le catwalk (également appelé podium ou runway), ce mannequin attend et prend la pose pour les photographes présents en backstages.
(Corinne Jeammet)
Cet autre mannequin se prête au jeu des photographes qui lui demandent de poser.
(Corinne Jeammet)
Si une heure avant, les maquilleurs et coiffeurs étaient, ici, en train de s'affairer pour que tout soit parfait sur le podium, la salle est désormais vidée de ses occupants.
(Corinne Jeammet)
La salle est comble, le coup d'envoi du show intitulé "SHE AND THEIR RED LIPS" a été donné. La collection s'inspire de la culture du cyclisme autour de Taïwan. L'utilisation de détails de vêtements cyclistes côtoient ici les slogans publicitaires colorés, les emballages et les images des vendeurs ambulants, évoquant la culture des noix de bétel.
(Courtesy of Angus Chiang )
Le mannequin défile avec l'emballage de noix de bétel dans lequel la petite main réalisait une heure plus tôt de minuscules trous
(Courtesy of Angus Chiang)
Le créateur Angus Chiang vient saluer au final de son show printemps-été 2018, son premier défilé dans le calendrier officiel de la PFW
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