“La Planche des Pirates”, “Bubble Stories”, “Le Grand Méchant Monstre” : quels jeux de société pour s’amuser en famille cet été ?
Ça y est ! Les vacances tant attendues sont là. Les enfants sont heureux et vont pouvoir passer leur temps à jouer. Il y a le ballon, les jeux vidéo bien sûr mais également les jeux de société qui ont le vent en poupe. Des chercheurs en psychologie ont récemment profité du festival des jeux de Cannes pour expliquer les effets bénéfiques du jeu de société sur les enfants notamment.
Franceinfo est allé demander à deux passionnés dix idées de jeux de société faciles à ranger dans une valise et qui sortent des sentiers battus. Céline Castan est vendeuse spécialisée dans la mythique boutique Jeux Descartes de Lyon, Thomas est youtubeur et donne son avis sur les sorties de jeux de société sur sa chaîne “Il était un jeu”. À eux deux ils ont concocté une sélection qui risque de faire passer les vacances encore plus vite.
“La Planche des Pirates” : un jeu à quitte ou double
Age : 5 ans et plus – joueurs : 2 à 4 - Durée : 15 mn – Editeur : The Flying Games
Un jeu de Florian Sirieix et Benoit Turpin illustré par Camille Chaussy
Holà moussaillon ! Voici un vrai trésor : simple, prenant et d'une efficacité redoutable. Quatre pirates se défient sur la terrible planche, une épreuve qui voit le perdant plonger irrémédiablement dans l’océan glacé. La boîte de jeu se retourne pour figurer le navire des pirates et permettre de fixer des planches aimantées. Chacun pose sa figurine face à l’abîme et visualise bien le gouffre qui l’attend en cas d’échec.
Le jeu est un classique du “stop ou encore”, chaque joueur dévoile des cartes depuis la pioche et les révèle sur un plateau. Deux cartes différentes lui permettent de placer un jeton en bois tout au bout de la planche de ses adversaires. Mais trois cartes l'autoriseraient à en placer deux et quatre cartes alourdiraient encore le supplice avec une troisième caisse... etc. Problème : dès qu’une carte apparaît en double exemplaire celui qui l’a dévoilée passe son tour et avance sa figurine d’éléphant pirate sur la planche, se rapprochant inexorablement de la chute fatale. Que ce soit en avançant ou lorsqu’on pose une caisse, dès qu’un pirate tombe à l’eau, la partie s’arrête.
Figurines et illustrations sont très réussies et la tension est palpable autour du bateau. Entre prise de risque et crainte de la chute, les apprentis frères de la côte n’ont pas fini de trembler.
L’avis de Thomas :
“Une évidence de gameplay dans une boîte qui ravive mon âme d’enfant. Celle-ci fait en effet office de terrain de jeu ! Les figurines sont impeccables et donnent immédiatement envie d’y toucher et de lancer une partie. La condition de victoire immédiate en prenant le risque de dévoiler l’ultime carte accroît encore plus la tension. Tout est ludique. LE jeu enfant de ce début d’année."
“Sheep Hop” : un jeu pour jouer à saute-mouton
Age : 5 ans et plus – joueurs : 1 à 4 - Durée : 15 mn – Editeur : Space Cow
Un jeu de Maël et Florian Fay illustré par Pauline Berdal
Après une dure journée de pâture, tout le monde aspire à rentrer au bercail. Hélas pour ce troupeau de moutons, deux loups patrouillent devant l’entrée de leur enclos rendant plus que périlleux le retour à la maison. Les joueurs doivent collaborer pour que les neuf moutons colorés qui patientent à l’orée de la forêt puissent passer la porte de leur enclos. Sur le damier, un gros loup et un petit loup font des cercles en lorgnant sur leurs proies. Tout se joue avec un dé que l’on lance à tour de rôle et qui indique qu’on peut déplacer, soit un mouton, soit les loups. Les ovins se déplacent d’une case en ligne droite mais peuvent sauter par-dessus leurs congénères voire même par-dessus un loup. Les féroces prédateurs ont, eux, un chemin prédessiné sur lequel ils vont avancer d’une ou deux cases. Dès qu’un loup tombe sur un mouton celui-ci finit dans l’antre de la bête. À la fin il faut avoir plus de moutons couchés tranquilles dans leur enclos qu'en train de rôtir chez canis lupus.
Après quelques parties on peut rajouter des tuiles qui compliquent les déplacements, comme un chien patou qui aide les moutons à avancer ou un renard qui va accélère le mouvement des loups.
L’avis de Céline :
“Gare aux loups !! Dans ce petit jeu, l’ergonomie est parfaite. On joue dans la boîte qui une fois ouverte forme le plateau. J’aime la façon dont nous devons créer notre chemin façon "jeu de dames" afin d’amener les moutons à l’abri de petit loup et grand loup qui rôdent. Alors oui, les moutons capturés sont emmenés au camp des loups. Mais peut-être que c’est pour chanter une chanson ensemble au coin du feu ?"
“Flash-back Zombie Kidz” : un jeu pour plonger dans le passé
Age : 7 ans et plus – joueurs : 1 à 4 - Durée : 30 mn – Editeur : Scorpion Masqué
Un jeu de Baptiste Derrez et Marc-Antoine Doyon illustré par Laure de Châteaubourg, Jennifer Mati et Michel Verdu
Quoi de mieux que de sauver le monde pour commencer une bonne journée ?
L’école subit actuellement une attaque de zombies et les enfants confinés dans les classes font appel à leurs souvenirs pour tenter de comprendre ce qu’il s’est passé afin de surmonter ce léger contretemps éducatif. Les joueurs vont donc devoir mener l’enquête ensemble en dévoilant au fur et à mesure des images qui font appel à d’autres images. Sur la première carte on découvre une scène de chaos dans la cour de récréation. Des numéros sont attachés aux yeux de certains protagonistes, si on souhaite observer leur point de vue il suffit de retourner la carte portant le même numéro. On voit alors ce qu’ils voient et on découvre d’autres indices. Des petites cartes mystères sont également dévoilées, elles posent des questions auxquelles il va falloir répondre en fin de partie. Enfin des “bidules”, objets technologiques non identifiés dont on ne peut vous révéler les particularités doivent être utilisés lors des enquêtes pour mettre au jour des indices autrement invisibles.
L’avis de Thomas :
“Ne vous méprenez pas : on est clairement sur un jeu d’enquête léger, se basant sur des perspectives de point de vue et des indices plus que sur la déduction. Un jeu radicalement familial dans lequel les rictus de malin plaisir sont légion devant tant de situations “zombiesques” hilarantes et loufoques. Un des jeux les plus originaux de cette année, qui promet d’excellents moments de partage."
“Le grand voyage” : un jeu pour planer avec les oiseaux
Age : 8 ans et plus – joueurs : 2 à 8 - Durée : 20 mn – Editeur : Betula
Un jeu de Charlec illustré par Maud Briand et Guillaume Tavernier
Voilà un jeu qui va vous faire planer ! Le grand voyage vous permet d’incarner un oiseau migrateur qui souhaite aller passer l’hiver dans un pays chaud. Il va falloir prendre de la hauteur, utiliser les courants aériens et esquiver les dangers pour parvenir à destination. Chaque espèce a des caractéristiques uniques et sera plus ou moins résistante au vent, à la pollution, aux rapaces ou ciblée par les chasseurs. Certaines vont devoir s’affaiblir en traversant toute l’Afrique du Nord quand d’autres n’iront pas plus loin que l’Egypte ou la Tunisie. Une fois son oiseau choisi parmi les huit disponibles, c’est le moment du décollage.
La mécanique du jeu est à la fois simple et immersive. Des cartes sont dévoilées au fur et à mesure et simulent les péripéties rencontrées à différentes altitudes. Chaque joueur choisi une hauteur de vol entre basse, moyenne ou haute et déplace son oiseau sur la carte en cochant les dangers rencontrés. Il y a moins de dangers à haute altitude mais attention il faut plus de temps pour redescendre se poser. Quand on subit trop de périls, le vol s’arrête brusquement et l’oiseau retourne à son point de départ. Si vous réussissez à atterrir sans être réduit à l’état de gibier, vous avancez votre pion sur le plateau de jeu d’un nombre de cases égal à la durée de votre vol.
Un jeu étonnant, empreint d’une grande poésie où on a vraiment le sentiment de voler comme un oiseau.
L’avis de Céline :
“Quand la mécanique est au service de la thématique… Ce moment magique qui génère des émotions fortes qui va des exploits incroyables à la frustration liée au principe du "stop ou encore" que j’affectionne particulièrement. Ainsi, nous vivons un véritable voyage avec ces oiseaux migrateurs. Nous en apprenons autant sur leurs sensibilités aux périls que sur nos propres limites à les leur faire vivre. De plus, la possibilité de jouer dès deux joueurs et jusqu’à huit en garantissant le même plaisir de jeu est rare, alors faites-vous plaisir mais attention au crash !”
“Inspecteur Leflair” : un jeu pour résoudre les enquêtes à plusieurs
Age : 7 ans et plus – joueurs : 2 à 5 - Durée : 20 mn – Editeur : Oya
Un jeu de Reinhard Staupe illustré par Olivier Freudenreich
Et oui, il est possible de résoudre une enquête en jetant des dés ! Mais ici, peu de hasard, simplement de la déduction. Les dés sont couverts de symboles qui représentent un couteau, une table, un éclair ou un champignon. Ils sont les seules armes mises à la disposition de l’inspecteur Leflair pour faire deviner une carte aux joueurs attablés devant lui.
Cinq cartes représentant des objets ou des animaux divers et variés sont posés sur la table. Un des joueurs endosse le rôle de l’inspecteur Leflair, il est le seul à connaître la carte à faire deviner. Il jette alors cinq dés et ne doit en retenir qu’un seul, celui qu’il estime être le plus en rapport avec la carte à trouver. Les autres se concertent et choisissent d’éliminer une carte. Si c’est celle qu’il fallait découvrir, la partie s’arrête sinon elle continue jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une, on marque alors le maximum de points.
L’avis de Céline :
“Très accessible, l’inspecteur Leflair est un excellent jeu à emmener avec vous pour jouer entre enfants parents et grands-parents. Il réussit le défi d’être compact et de générer des émotions liées à l’échange. Et si on se trompe, on en discute et on essaye de mieux se comprendre au tour suivant. Même si parfois ce n’est pas évident sachez vous écouter. Certains ont parfois un meilleur flair que d’autres...”
“Bubble Stories” : un jeu pour vivre ses premières aventures
Age : 4 ans et plus – joueurs : 1 à 2 - Durée : 10 mn – Editeur : Blue Orange
Un jeu de Matthew Dunstan illustré par Marie Millotte
Difficile d’expliquer avec des mots un jeu qui n’en contient aucun car Bubble Stories ne fonctionne qu’avec des images. Toutes les cartes sont positionnées sur la table faces cachées sauf celle de départ. Sur leur verso on ne voit que des morceaux d’images dans une bulle. Il faut d’abord observer la carte de départ sur laquelle des cercles sont dessinés, mettant en avant des indices. On cherche alors sur la table le bout d’image entouré et on retourne ainsi une carte qui va nous proposer une autre image dans laquelle vont se trouver également d’autres indices etc...
On cherche ainsi à résoudre une sorte de mini-enquête dont l’objectif est de retourner trois cartes contenant des étoiles particulières. Si en chemin on s’est un peu perdu et qu’on a retourné des cartes rouges, synonymes d’impasse, on gagnera moins de points en fin de partie. Chaque boîte de Bubble Stories contient trois aventures à vivre dans des décors différents. De la plongée sous-marine au musée en passant par le parc animalier, les enfants devront faire fonctionner leur mémoire s’ils veulent parvenir à résoudre chaque enquête sans retourner une seule carte rouge.
L’avis de Thomas :
“Bon petit jeu pour faire découvrir le genre aux plus jeunes, probablement vite lassant pour les plus de 6 ans je pense. Une fois les aventures assimilées, elles peuvent même être jouées en autonomie avec pour but de retourner un minimum de mauvaises cartes. Place alors à la mémorisation, et sur ce point-là, les enfants sont souvent brillants. “
“Apocalypse au Zoo de Carson City” : un jeu de zombies avec de méchants humains
Age : 12 ans et plus – joueurs : 2 à 4 - Durée : 15 mn – Editeur : Jeux Opla
Un jeu de Alexandre Droit et Florent Toscano illustré par Guillaume Griffon
Tiré de la bande dessinée un brin déjantée Apocalypse sur Carson City, voici un petit jeu de cartes à la fois drôle et diablement efficace. Chaque joueur possède un commando de quatre soldats qu’il va envoyer arpenter le zoo de Carson City, en proie à une attaque de zombies, pour retrouver des animaux et les libérer.
Le zoo en lui-même est matérialisé par un tableau de cinq cartes par cinq. Sur les cartes on trouve soit des animaux qui valent quatre points, soit des zombies qui en valent de un à trois soit des éléments de décors qui ne valent pas un clou. Toutes les cartes sont doublées ce qui fait que quand on en prend une, il y en a une autre en dessous. Les joueurs peuvent à tour de rôle envoyer un soldat sur une des cartes ou déplacer une de leur troupe déjà présente, dans les deux cas on récupère la carte sur laquelle on atterrit. Si quand on la retourne il y a au revers une face de zombie hurlant on perd son fantassin qui devient illico mort-vivant.
Mais là où le jeu prend de l’intérêt et de la complexité, c’est qu’il est possible de capturer les unités adverses. Comme souvent dans les films de zombies, les humains se révèlent rapidement plus dangereux que les morts-vivants. Le zoo devient donc rapidement un lieu où il est difficile de se déplacer et où chaque mouvement doit être mûrement réfléchi.
L’avis de Céline :
“C’est l’heure de la chasse à l’homme ! Non, ce jeu ne se veut pas mignon. Ici, on ne triche pas : quand un de nos persos a le malheur de se faire mordre, c’est l’horreur. C’est un jeu que j’adore parce qu’il est simple et tellement malin. Avec des parties courtes et incisives, il fait le pont entre stratégie, fun et suspense. Combiné à Linda son extension, il vous permettra encore plus de variations notamment en coopération où un vrai défi vous attend.”
“Le Grand Méchant Monstre” : un jeu pour jouer à se faire peur
Age : 5 ans et plus – joueurs : 2 à 4 - Durée : 20 mn – Editeur : Bankiiiz Editions
Un jeu de Joan Dufour et Benoit Turpin illustré par Rémi Leblond
Qui aura le plus terrifiant, affreux, hideux, horrible et menaçant monstre autour de la table ? Voilà le défi proposé par Le Grand Méchant Monstre, un jeu où l’on doit dessiner la créature qui fera le plus peur.
Chacun démarre avec sa feuille sur laquelle, pour les plus petits, est déjà dessiné un corps de monstre pas très jojo. Il faut ensuite lancer quelques dés et en choisir un qui représente une partie de notre abomination : yeux, dents, cornes, jambe poilue ou patte griffue, chaque joueur dessine sur sa feuille l’élément qui constitue son monstre. Lorsqu’on parvient à avoir deux yeux ou deux pattes, on peut prendre une petite tuile et la mettre dans notre trouillomètre, un tableau qui jauge la capacité terrifiante de notre monstre. On peut également tenter d’avoir trois cornes ou même cinq jambes, avec le risque toutefois qu’un autre joueur le fasse avant nous. Mais si on réussit le premier, la tuile que l’on met dans le trouillomètre est beaucoup plus grande et le monstre fait donc beaucoup plus peur ! Le premier joueur qui atteint le sommet du trouillomètre gagne la partie.
L’avis de Thomas :
“Un jeu d’une intelligence absolument magique. Je suis tellement fier d’y jouer avec notre fille. Elle s’éclate à dessiner ses monstres, toujours plus loufoques les uns que les autres, et s’amuse à les comparer aux nôtres. On revit avec ce jeu un pur moment d’enfance et de partage. Il n’en reste pas moins ludique avec la sélection réfléchie des jetons peur plus ou moins grands selon l’opportunité et/ou notre patience. Un véritable coup de cœur.”
“Nimalia” : un jeu pour ceux qui aiment que ça rentre dans les cases
Age : 10 ans et plus – joueurs : 2 à 4 - Durée : 30 mn – Editeur : La Boîte de Jeu
Un jeu de William Liévin illustré par Pauline Détraz
Des crocodiles, des girafes, des manchots... Voici une ménagerie pas facile à gérer. Et c’est là que réside tout le piquant de Nimalia : adapter sa réserve animalière en conciliant des objectifs parfois contradictoires.
La mécanique est ultra-simple : les cartes sont divisées en quatre zones comportant chacune un animal dans son environnement naturel. À chaque manche les joueurs piochent trois cartes, en posent une qui doit obligatoirement chevaucher une autre carte et donnent les autres à leur voisin. Il faut construire une réserve sur un carré d’un maximum de six cases par six tout en respectant des objectifs afin de remporter le plus de points possibles à chaque manche. Une fois que tous les joueurs ont posé leurs trois cartes on compte les points et on passe à la manche suivante.
À chaque manche, comme à chaque partie les objectifs changent : il faut parfois avoir une savane la plus étendue possible tout en limitant les girafes ou rassembler au maximum les ours en gardant les manchots éloignés les uns des autres. Ce système ingénieux permet une grande "re-jouabilité" en garantissant des parties toujours différentes.
L’avis de Céline :
“Un jeu à la fois simple et terriblement casse-tête. Il vous faudra savoir quoi recouvrir et quoi laisser d’une manche à l’autre pour réaliser des objectifs qui une fois comptés reviennent plus tard. Sublimé par la talentueuse Pauline Detraz et son univers coloré, avec une mécanique de draft efficace, Nimalia n’a rien à envier aux grands.”
“Papageno” : un jeu pour compter et tricher (un peu)
Age : 6 ans et plus – joueurs : 2 à 5 - Durée : 15 mn – Editeur : Helvetiq
Un jeu de Kevin Kim illustré par Felix Kindelan
Papageno est un jeu idéal pour commencer à s’amuser avec les chiffres avec en prime quelques cartes d’effets un peu vicieuses. Le joueur doit collectionner des oiseaux et tenter de conserver ceux ayant le plus de valeur, mais les adversaires lorgnent sur sa volière et cherchent à lui voler ses spécimens ou à les faire fuir.
Chacun démarre avec six cartes posées devant lui, trois en haut, trois en bas et n’en retourne qu’une seule. Ensuite, le principe est simple, il faut prendre une carte de la pioche et remplacer une de celles qui sont posées devant soi. Les cartes d’oiseaux sont numérotées de moins deux à neuf et pour gagner il faut marquer le plus de points possibles. Trois cartes viennent compliquer la donne : un œuf qui copie la valeur d’une carte adjacente, une cage qui permet d’échanger un oiseau de son choix avec un adversaire et enfin une flûte qui oblige tous les joueurs à changer une carte au même endroit. Les deux dernières cartes valent dix points et sont évidemment les plus utiles pour remporter la partie.
L’avis de Céline :
“Un look mignon avec ses oiseaux colorés aux lignes épurées et un format ultra-compact caractéristique de la gamme Helvetiq que j’apprécie particulièrement. Papageno est un jeu rapide et simple dans lequel les rebondissements du joueur de flûte nous enchantent et créent cette interaction qui permettra aux petits malins que sont nos enfants de retourner la situation à leur avantage.”
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