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Interview : Jamel Debbouze et Kev Adams à l’affiche d’Alad’2

Trois ans après son succès, Aladin, joué par Kev Adams, revient au cinéma dans de nouvelles aventures. Jamel Debbouze a rejoint le casting. À quelques jours de la sortie d’"Alad’2", nous avons rencontré les deux humoristes.
Article rédigé par Véronique Dalmaz
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Kev Adams face à Jamel Debbouze dans une scène d'Alad'2
 (Emmanuelle Guimier )

En 2015, le film "Les nouvelles aventures d’Aladin" avait franchi la barre des 4 millions 430 mille entrées au cinéma. Une belle réussite. Le second volet "Alad’2", qui sera dans les salles obscures ce mercredi 3 octobre, réserve de nouvelles surprises. Jamel Debbouze partage l’affiche avec Kev Adams. Un duo de choc. Les deux humoristes ont répondu aux questions de Youssef Bouchikhi, notre confrère de France 2.    

Reportage : Y.Bouchikhi / D.Dahan / I.Tartakovsy


Dans le premier film, Aladin (Kev Adams) avait libéré Bagdad de son terrible Vizir. La suite de la saga se déroule au palais où Aladin s’ennuie. De plus, il n’a toujours pas demandé la princesse en mariage (Vanessa Guide). Un terrible dictateur, joué par Jamel Debbouze, s’invite au Palais. Ce dernier annonce qu’il est venu prendre la ville et épouser la princesse.

Jouer un dictateur, c’est extraordinaire car on peut pousser sa méchanceté à son paroxysme. On peut emmener ce personnage n’importe où.

Jamel Debbouze
Aladin n’a pas d’autre choix que de s’enfuir du palais. Il tente par tous les moyens de retrouver son génie, interprété par Eric Judor, pour libérer la ville et récupérer sa promise.   

La scène du ring a été l’une des plus drôles du film à jouer. Eric commence à caresser le torse d’Aladin. Il lui fait un bisou sur la bouche. On s’y attendait tellement pas qu’on est parti dans un fou rire.

Jamel Debbouze
Le film, qui a déjà été présenté en avant-première dans de nombreuses villes, est bien accueilli par le public. Une bonne nouvelle qui doit rassurer Jamel Debbouze.  

Attendre aussi longtemps pour goûter ses effets, c’est insupportable. Alors que la scène, c’est immédiat. T’es bon, tu le sais tout de suite. T’es mauvais, c’est "salut".

Jamel Debbouze
Reste un défi de taille pour l’équipe du film : faire autant d’entrées qu’en 2015. Avec un bon génie, tout est possible.  

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