Cet article date de plus de six ans.

Julie Gayet, illustre marraine de la fête du court-métrage

Le court-métrage est en fête dans une trentaine de villes en France jusqu'au 20 mars. Une fête pour promouvoir ce format qui a vu naître de grands réalisateurs. De passage à Nice pour le début des festivités, Julie Gayet est la marraine de cette édition 2018.
Article rédigé par Anne Elizabeth Philibert
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié
Temps de lecture : 2min
Julie Gayet ambassadrice de la fête du court-métrage 
 (sipa)

Décidément, Julie Gayet est sur tous les fronts. A peine revenue des Oscars à Hollywood où deux de ses films étaient en compétition, puis un passage éclair en février à Clermont-Ferrand, voilà la comédienne-productrice partie pour la promotion du film court.

C'est elle la marraine de la fête du court-métrage qui se déroule partout en France jusqu'au 20 mars. Une semaine pour remettre au goût du jour cet exercice plutôt confidentiel auprès du grand public. Julie Gayet n'oublie pas qu'elle a fait ses débuts en apparaissant dans ces moyennes ou petites histoires. On compte une trentaine de court-métrages dans sa carrière. Et aujourd'hui encore, elle continue à défendre le petit format du cinéma. Invitée à la Passerelle à Nice, l'actrice rappelle que le 7e art est né avec le court métrage. 

Reportage : V.Varin - E.Jacquet - D.Roux  


Un tremplin pour les réalisateurs et les comédiens

Parmi les invités, le réalisateur niçois Benoît Grimalt, conscient que le court-métrage peut lancer une carrière. En effet, bon nombre de cinéastes ont commencé par le court avant de se lancer dans le long comme Cédric Klapich, Jean-Pierre Jeunet, François Ozon ou Christophe Baratier.

Comme pour les réalisateurs, le format court est aussi une bonne école de cinéma pour les comédiens. Et il n'y a pas que Julie Gayet qui a commencé sa carrière par le court. Avant de dévenir célèbres, Karine Viard, François Cluzet ou Elodie Bouchez ont tous joués dans des court-métrages. 

 

La fête du court-métrage dans une trentaine de villes

Moins visible que le long métrage, le court-métrage est mis à l'honneur dans cette fête durant une semaine entière. Une trentaine de villes en France comme Lyon, Strasbourg, Toulouse ou Nice sont partenaires de cette édition 2018. Avec plus de 180 nouveaux titres, l'évènement culturel fait découvrir toute la magie de l'exercice : faire passer un message, une idée, en un temps beaucoup plus court. Moins formaté, le court reste un incroyable espace de liberté, un terrain de création et d'expérimentation infini pour les réalisateurs.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.