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"L'ombre de Marie-Antoinette", une BD qui mêle réalité historique et science-fiction
C’est à la fois une histoire en soi et une suite. «L’ombre de Marie-Antoinette » sort chez Glénat, deuxième album d’un tryptique scénarisé par Didier Convard et Eric Adam et dessiné par Eric Liberge. Le tout est coédité par le château de Versailles qui a veillé au respect de la réalité historique de cette fiction inspirée de la vie de Marie-Antoinette.
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Temps de lecture : 2min
Reportage : Antoine Marguet, Jean-Yves Blanc, Blandine Hermans, Caroline Isssoulie
Parler de Versailles autrement et toucher un autre public. C’est ce qui a poussé les responsables du château de Versailles a accepté la proposition de Glénat, à savoir coéditer une bande dessinée qui aurait pour cadre le célèbre château. Les BD sur Versailles existaient déjà mais davantage destinées aux adolescents et aux enfants.
Sortie en septembre 2012, « Le crépuscule du Roy » mettaient les habitants du château aux prises avec de mystérieux serviteurs, « les Roberts » qu’un dénommé Nicolas de Barberon tentaient de démasquer. Même si la réalité historique était scrupuleusement respectée, les auteurs avaient déjà injecté une bonne dose de science-fiction à leur récit. Didier Convard et Eric Adam ont récidivé dans « L’ombre de Marie-Antoinette ». Cette fois, l’intrigue commence à notre époque avec comme personnage principal Nick Barberon, un jeune peintre américain, en voyage en France. Descendant d’un membre de la Cour de Louis XVI (qui n’est autre que Nicolas de Barberon), il découvre lors d’une visite une toile, portrait d’une jeune femme dont la beauté le fascine au point qu’il s’évanouit. Quand il se réveille, la belle est là devant lui, bien réelle. Par un mystérieux processus, Nick se retrouve dans la peau de son ancêtre, Nicolas de Barberon, trois siècles en arrière. « L’ombre de Marie-Antoinette », Didier Convard et Eric Adam (scénario) et Eric Liberge (dessin) – Coéditon Glénat/ Château de Versailles – 48 pages – 13,90 euros
Sortie en septembre 2012, « Le crépuscule du Roy » mettaient les habitants du château aux prises avec de mystérieux serviteurs, « les Roberts » qu’un dénommé Nicolas de Barberon tentaient de démasquer. Même si la réalité historique était scrupuleusement respectée, les auteurs avaient déjà injecté une bonne dose de science-fiction à leur récit. Didier Convard et Eric Adam ont récidivé dans « L’ombre de Marie-Antoinette ». Cette fois, l’intrigue commence à notre époque avec comme personnage principal Nick Barberon, un jeune peintre américain, en voyage en France. Descendant d’un membre de la Cour de Louis XVI (qui n’est autre que Nicolas de Barberon), il découvre lors d’une visite une toile, portrait d’une jeune femme dont la beauté le fascine au point qu’il s’évanouit. Quand il se réveille, la belle est là devant lui, bien réelle. Par un mystérieux processus, Nick se retrouve dans la peau de son ancêtre, Nicolas de Barberon, trois siècles en arrière. « L’ombre de Marie-Antoinette », Didier Convard et Eric Adam (scénario) et Eric Liberge (dessin) – Coéditon Glénat/ Château de Versailles – 48 pages – 13,90 euros
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