Une équipe de France 3 La Rochelle l'a retrouvé. Et franchement un M. Chat qui orne les murs des blockaus c'est plutôt pas mal.Reportage : M. Mercier / M. Millet / J. Deba Une vraie vie de Chat Depuis sa naissance, en 1997, M. Chat a grandi au clair de lune, fait le mur, est revenu à la maison, s'est un peu assagi mais continue d'être un sacré farceur. Son grand sourire est même entré au musée et dans les galeries. Une belle aventure sympathique qui, au fur et à mesure de sa notoriété internationale, lui a donné ses lettres de noblesse dans le paysage du street art. Un Chat chahuteur et chahuté Mais aujourd'hui, la jolie sphère de M. Chat est entâchée d'une réaction assez primaire de la part de la RATP. La régie des transports parisiens n'a pas apprécié les graffitis qui ornent les murs en travaux de la station "Châtelet" et le poursuit pour "dégradations". Elle lui réclame 1800 euros de dommages et intérêts. Un coup de griffe que Thoma Vuille, le papa du matou, a du mal à comprendre. "Je ne suis pas quelqu'un de malveillant, je respecte les gens et les lieux où je peins. Je suis passé plusieurs fois à Châtelet il y a trois mois alors que les travaux commençaient. J'ai trouvé les murs gris, tristes, et de toutes façons je savais qu'ils allaient recouvrir mes graffitis par du carrelage" déclare-t-il au Parisien Ces derniers temps, la vie de M. Chat n'est décidément pas très ronronnante...