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"Fleurs de lave", concours de sculpture en temps réel à Besse-en-Chandesse
Pour animer la commune et la mettre en valeur, Besse-en-Chandesse dans le Puy-de-Dôme a invité pendant trois semaines quatre sculpteurs internationaux pour créer une oeuvre qui sera ensuite exposée. Aucune contrainte ne leur était imposée sinon celle de la matière première : obligatoirement la pierre de lave locale.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : Christian Lamorelle, Olivier Martinet, Arthur John et Stéphanie Salmon
La commune de Besse a décidé en 2014 de relancer le concours de sculptures qui existait dans les années 90. L'opération baptisée "Fleurs de lave" a été reconduite cette année. Pour cela, elle a invité pendant trois semaines quatre sculpteurs internationaux. Pour leur travail, ils ont eu carte blanche avec cependant une obligation, travailler la pierre de lave locale.
Uli Schwander, l’Allemand, a joué sur la différence de couleur et de dureté de la roche : la pierre de lave grise plus résistante et la rouge, plus tendre, qui se travaille mieux. Peter Yarwood, le Gallois a dû, lui, composer avec les éclats de roche qui se détachaient là où il ne le souhaitait pas.
David Léger, le Français, a poursuivi avec sa technique habituelle qui consiste à toujours commencer une sculpture par le bas pour s’élever, toujours s’élever. "Une élévation, précise-t-il, toute en douceur. C’est une invitation à la caresse".
Enfin le Turc Ferhat Ozgur Gorel, qui connait bien la lave, a apprécié l’absence de contrainte proposé par les organisateurs.
Le travail de sculpteurs que les visiteurs ont pu apprécier s’est terminé le 24 juillet. Les oeuvres vont maintenant être installées dans la commune où elles rejoindront des réalisations de l’an dernier.
Uli Schwander, l’Allemand, a joué sur la différence de couleur et de dureté de la roche : la pierre de lave grise plus résistante et la rouge, plus tendre, qui se travaille mieux. Peter Yarwood, le Gallois a dû, lui, composer avec les éclats de roche qui se détachaient là où il ne le souhaitait pas.
David Léger, le Français, a poursuivi avec sa technique habituelle qui consiste à toujours commencer une sculpture par le bas pour s’élever, toujours s’élever. "Une élévation, précise-t-il, toute en douceur. C’est une invitation à la caresse".
Enfin le Turc Ferhat Ozgur Gorel, qui connait bien la lave, a apprécié l’absence de contrainte proposé par les organisateurs.
Le travail de sculpteurs que les visiteurs ont pu apprécier s’est terminé le 24 juillet. Les oeuvres vont maintenant être installées dans la commune où elles rejoindront des réalisations de l’an dernier.
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