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Sur les traces de Joan Miró, avant sa rétrospective au Grand Palais

Quelque 150 œuvres de Joan Miró sont à découvrir au Grand Palais, à Paris, à partir du 3 octobre. L’occasion de revenir sur le parcours de ce génie du mouvement surréaliste. Son petit-fils nous a ouvert les portes de son atelier en Espagne.
Article rédigé par Véronique Dalmaz
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié
Temps de lecture : 1 min
Joan Miró
 (Capture d'image France 3/Culturebox)

L’œuvre de Joan Miró, coloré et énigmatique, reflète l’attrait du peintre pour le subconscient. Il créait souvent à partir de ces rêves. Un univers que son petit-fils, Juan Punyet Miró,  a bien voulu nous décrypter dans ce reportage de France 2.

Reportage : M.Berrurier / G.Beaufils / G.Michel / J.Cordier  

Né à la fin du 19e siècle, Joan Miró est passé par toutes les influences artistiques : fauvistes, cubistes et expressionnistes. Mais c’est sur l’Île de Majorque, aux Baléares, que le peintre espagnol va trouver son style. Face à la mer, depuis la terrasse de sa maison, il peint et trouve l’inspiration.
 

Ici, il pouvait reproduire tout ce qui l’influençait : le ciel, la terre, le jour, la nuit, le cosmos, les étoiles. C’était comme une espèce de connexion avec l’univers.

Juan Punyet Miró
Ses tableaux aux couleurs primaires s’inspirent également des vitraux de la cathédrale de Palma. Du rouge, du vert, du jaune, du bleu… qui seront sa marque de fabrique. Sa maison qui servait d’atelier est restée intacte. Rien n’a bougé depuis sa mort en 1983. Les tubes de peinture, les toiles vierges sont encore là. Comme s'il allait revenir peindre.

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