Cet article date de plus de huit ans.
Recevez l'essentiel de l'actualité et restez à jour avec nos newsletters
découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)Markus Raetz a une passion dans la vie:bousculer nos habitudes visuelles. A travers chacune de ses œuvres il veut troubler notre vision et nous conduire à nous méfier des apparences. Cette fois ci c’est à la Bibliothèque nationale de France Richelieu qu’il présente 200 œuvres jusque au 12 février 2012: estampes,dessins,eaux fortes,héliogravures,pochoirs,impressions à la ficelle. A chaque, fois c’est au spectateur de redonner sens à la forme que l’artiste a volontairement perturbée, déconstruite. Markus Raetz né en 1941, vit et travaille à Berne. Comme un scientifique sur sa paillasse, il cherche, expérimente et s’amuse. Pour ce faire il joue sur le plein, le vide,le reflet face à la réalité,les jeux de miroir ,l’ombre et la lumière, les courbes et les contrecourbes.L’objectif est toujours le même;déstabiliser notre regard pour nous conduire à la réflexion. L 'artiste a quatre thèmes favoris:le visage,le paysage le langage et la géométrie. En 2009 Raetz a exposé au Grand Palais dans le cadre de l’exposition: «Une image peut en cacher une autre: Arcimboldo, Dali ,Raetz ».L' exposition de la Bibliothèque Richelieu sera présentée de mars à juin 2012 au MUBA Eugène Leroy de Tourcoing où une salle Markus Raetz a été crée en 1994.
Bibliothèque nationale de France Richelieu.Rue Vivienne.Paris. Dernier jour:12 février 2012.Entrée:7euros.
mardi-samedi:10h à 19h/dimanche:12h à 19h.
http://www.bnf.fr/fr/acc/x.accueil.html
Partager : l’article sur les réseaux sociaux
les mots-clés associés à cet article
Toute l’actu en direct et en continu, où et quand vous voulez.
L’application France Info
Tout France Info, et bien plus. Sauvegardez vos articles à lire plus tard et filtrer l’actualité qui vous intéresse
Activez les notifications franceinfo et ne manquez rien de l’actualité
Vous pouvez changer d’avis à tout moment dans les réglages de votre navigateur.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.