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A Phuket, un festival qui ne manque pas de piquant

Article rédigé par Elodie Drouard
France Télévisions
Publié Mis à jour

A l'occasion du festival végétarien qui se déroule chaque année à Phuket (Thaïlande), des dizaines de Chinois taoïstes se transpercent le visage d'objets tous plus impressionnants. Attention, ces images peuvent choquer.

A l'occasion du festival végétarien qui se déroule chaque année à Phuket (Thaïlande), des dizaines de Chinois se transpercent le visage d'objets tous plus impressionnants. Attention, ces images peuvent choquer.

C'est pendant le 9ème mois du calendrier lunaire chinois que Phuket (Thaïlande) accueille un festival végétarien. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Pendant 9 jours, la communauté chinoise de la ville s'impose un régime végétarien. (PORNCHAI KITTIWONGSAKUL / AFP)
Outre la viande, les jeunes abstinents doivent également éviter de boire de l'alcool et d'avoir des relations sexuelles. (PORNCHAI KITTIWONGSAKUL / AFP)
Mais le caractère le plus impressionnant de ce festival taoïste sont les mutilations que s'infligent certains festivaliers. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Afin de se purifier, des fakirs ou "Ma song" se transpercent le visage et le corps. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Les objets les plus divers et variés sont utilisés pour impressionner. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Cette tradition remonte à 1825. Cette année-là, une troupe d'opéra chinois de passage à Phuket tombe malade. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
D'autre festivaliers s'entaillent ou marchent sur des braises. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Depuis, la communauté chinoise de Phuket attribue au végétarisme toute sorte de vertus et célèbre ce comportement alimentaire chaque année. (PORNCHAI KITTIWONGSAKUL / AFP)
Dans l'espoir de guérir, les malades s'imposent alors un régime végétarien qui leur est finalement bénéfique. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Et si ces comportements barbares semblent très éloignés du végétarisme, c'est parce qu'ils sont surtout destinés à remercier les dieux en expiant de cette façon ses pêchés. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)
Des broches, mais également des armes à feu ou jantes de voitures, tout est potentiellement employé pour se mutiler. (DAMIR SAGOLJ / REUTERS)

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