Consommation : cuisiner aux huiles végétales

Qui dit cuisine gastronomique dit forcément bons produits. Ils sont dignement représentés au salon de l'Agriculture. Si vous cherchez une huile d'excellence, vous la trouverez certainement là-bas. Certains sont des inconditionnnels de l'huile olive, prônée parlés adeptes du fameux régime crétois. Huile de colza, de noix, de tournesol, chacune a sa vertu, l'important est d'en changer régulièrement.

Elles sont pressées sous les yeux des visiteurs, des olives corses transformées à l'ancienne en plein Paris.

Là, c'est la pâte qu'on obtient en écrasant les olives.

La pâte est un mélange d'eau et d'huile. Reste ensuite à les séparer.

En décantation, on obtient l'huile, pressée ce matin et hier, on peut la consommer à midi.

Une appellation d'origine protégée quasi en rupture de stock car les consommateurs en raffole avec la mode du régime méditerranéen Des huiles végétales produites en France, il y en a beaucoup. La plus consommée, l'huile de tournesol avec 42 % suivie de l'huile d'olive 23 %, l'huile de colza 9 %, très peu d'huile de noix. Les mélanges deviennent très tendance : 20 % des ventes. Alors, que faut-il consommer.

On recommande deux cuillères à soupe par jour. Le bon mélange est un 1/4 d'huile de noix, un 1/4 d'huile de tournesol, et un 1/4 d'huile d'olive.

Des huiles toutes riches en acides gras essentiels indispensables pour la santé comme les omégas 3. Pour cette jeune chef parisienne, varier les huiles, c'est aussi varier les goûts. Pour ces ravioles aux petits légumes, elle a choisi l'huile de colza.

C'est une première pression, elle est excellente pour la salade, la vinaigrette. On peut faire des mayos avec et aussi la cuisson.

Les visiteurs apprécient. De nouvelles huiles ont fait aussi leur apparition comme l'huile de cameline ou l'huile d'oeillette, une plante de la famille des pavots.

En cette période de vacances, nous allons vous faire découvrir quelques un des plus beaux endroits situés en bord de mer.