Education : les élèves de Terminale devaient plancher sur l’épreuve de philosophie
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Mercredi 14 juin dans la matinée, au lycée de Vanves (Hauts-de-Seine) en région parisienne, une dernière révision a permis à certains candidats de se rassurer avant le passage des grilles. Même si l’enjeu de l’épreuve n’est plus le même avec le contrôle continu. "Si je réussis ou je ne réussis pas. De toute façon le résultat est le même, donc je ne suis pas vraiment stressée", note une élève.
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Plus difficile dans les années 70
Autrefois, seule l’épreuve de juin était évaluée avec le risque d’obtenir une note qui pouvait disqualifier le candidat. C'était notamment le cas dans les années 70. Avec un coefficient allant jusqu’à 8 pour la filière générale, et un coefficient 4 pour la filière technologique, l’épreuve pouvait lourdement pénaliser les candidats. Aujourd'hui, avec la prise en compte du contrôle continu, cela est bien différent. "C’est important pour la mention, mais même avec une mauvaise note, je pourrais avoir la mention 'Bien'", précise un élève.
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