Replay Regardez l'intégralité de "L’Entretien politique" avec Nicolas Dupont-Aignan sur France 2

Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
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DIRECT. Présidentielle : regardez l'intégralité de "L’Entretien politique" avec Nicolas Dupont-Aignan sur France 2
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Le président de Debout la France et candidat à l’élection présidentielle était l’invité de France 2 mercredi soir.  

Ce qu'il faut savoir

Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président de Debout la France et candidat à l'élection présidentielle pour la deuxième fois, était, mercredi 15 mars, l’invité de France 2, dans le cadre de "L'Entretien politique", à 20h30. Interrogé sur ses chances de réussite, il a martelé : "Les sondages se sont toujours trompés". "Ni Fillon, ni Le Pen, ni Macron ne sont les solutions".

Questionné sur ses différences avec la candidate du Front national, il a rétorqué : "mon patriotisme gaulliste a des points communs avec Marine Le Pen, mais la manière dont je mettrais en oeuvre ce patriotisme ne sera pas la même parce que je suis un gaulliste social. (...) Il n'y a pas chez nous le passé d'extrême-droite". 

Les ministres dont il rêve "ne se font pas payer des costards à 6000 euros !"

Comment financera-t-il son programme, qui coûterait 100 milliards supplémentaires ? Nicolas Dupont-Aignan a expliqué qu'il avait prévu plusieurs sources de recettes. En particulier, il ne veut plus passer par les "banques privées" pour financer l'emprunt, mais le faire directement auprès de la banque centrale à un taux de 0%. Côté économies, il a dit "préférer", par exemple, faire la fibre à haut débit sur tout le pays que financer le TGV Lyon-Turin. "Je supprimerai les conseils régionaux qui servent à nourrir les copains des politiques !", a-t-il aussi spécifié.

Qu'est-ce qui réunit des personnalités comme Natacha Polony à l'Instruction publique, Henri Guaino à la Défense, Rama Yade aux Affaires étrangères, Irène Frachon à la Santé, Malek Boutih à la politique de la Ville, dont il aimerait faire ses ministres dans un gouvernement idéal ?  "Il y a un point commun, a-t-il riposté; ce sont des gens courageux. Ce sont des gens qui ne se font pas payer des costards à 6000 euros !"